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Présentation : Laurent Berlivet
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Le Fun Acro produit
par BLH Andorra (structure animée par Jean-Charles, le
fabricant de la Tito, du Cortals 2, de l'Aspi
97 et d'autres...) est un planeur acrobatique compact, fin
et léger, ce qui lui offre une vaste plage de vol. Parmi
les gros avantages que je lui ai trouvé, le principal
à mes yeux est le fait qu'il soit entièrement
démontable, même s'il n'est pas très grand
une fois monté. On peut ainsi le trimbaler aisément
sans risque de l'endommager, et sans qu'il ne monopolise trop
de place. Par rapport à une Evolution 60 du même
fabricant, il possède aussi un empennage en croix, ce
qui le destine à une voltige plus efficace pour effectuer
renversements, tonneaux à facettes, vrilles ventre ou
dos et passages en glissade ou sur la tranche. |
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Ces petits accessoires emballés séparément
sont utilisés pour l'empennage. |
Une boîte pour les ranger évitera d'en perdre. |
Mise en place des renforts de stab en contreplaqué dans
les fentes prévues. |
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De la cyano fluide est infiltrée pour coller les renforts. |
Les emplacements pour les clés de stab sont dégagés. |
Les tubes alu ne sont pas forcément bien ébarbés. |
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Quelques allers-retours sur une lime suffisent. |
La surface est dépolie avec une petit lime pour que la
colle accroche. |
Les fourreaux de clés sont glissés dans leur emplacement. |
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Quelques coups de cutter permettent de détacher les pièces
de leur support. |
Une lime queue de rat est utilisée pour reformer le trou
si nécessaire. |
Mise en place des clés en jonc carbone pour vérifier
que tout s'assemble. |
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Si tout va bien, les clés sont retirées
avant collage pour éviter de mauvaises surprises. |
Attention à ne pas coller les pièces sur le chantier
les pointant à la cyano. |
Les renforts de volets de stab sont en contreplaqué fin. |
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Pour être moins visibles sous l'entoilage, les bords des
renforts sont affinés. |
La baguette qui réunit les deux volets est légèrement
arrondie aux extrémités. |
Les renforts sont collés dessus/dessous, la baguette
de jonction reste amovible. |
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Le bord formant la charnière
est poncé en pointe, les autres contours sont arrondis. |
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Les éléments qui composent la dérive. |
La base est renforcée en contreplaqué. |
Mise en place des fourreaux de clés. |
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La longueur des fourreaux doit être répartie uniformément
de chaque côté. |
Avant de coller les fourreaux et les rondelles, il faut s'assurer
de l'équerrage. |
Collage des différents éléments à
la cyano fluide. |
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Le volet de dérive est renforcé par un petit morceau
de contre-plaqué au niveau du guignol. |
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Les flancs en balsa sont doublés de contreplaqué
fin. |
Collage à la colle à bois puis mise sous presse
durant tout le séchage. |
Les couples en contreplaqué sont détaché
d'un coup de cutter. |
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Deux platines sont livrées. L'une ajourée pour
les servos conseillés, l'autre à découper
soi-même. |
Les chutes ont été conservées, coupées
puis collées sous la platine au niveau des vis de fixation. |
Les baguettes d'angle sont entaillées à la scie,
tous les centimètres environ pour favoriser la courbure. |
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Les baguettes d'angles sont collées en suivant
le contour des flancs. |
Attention : 3 points d'attache retiennent le haut du couple.
Il est impératif de couper au moins celui du milieu qui
ne sera plus accessible après coffrage. |
Collage du couple principal et de la platine contre l'un des
flancs. On voit que le haut du couple sera solidaire de la verrière,
c'est pour ça qu'il faut le détacher. |
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Si nécessaire, les encoches peuvent être
reprise à la pointe du cutter. |
Placer l'autre flanc puis les fourreaux de clés dans
les trous, sans les coller. |
Vérifier que les flancs sont plats au niveau où
se plaqueront les ailes. |
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Si tout est droit, les fourreaux sont collés à
la cyano. |
Une fois les flancs réunis autour des couples, égaliser
avec une cale à poncer. |
L'excédent de baguettes qui dépasse à l'avant
est recoupé au ras du couple. |
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Ponçage avec une cale de tout ce qui pourrait dépasser
au niveau des flancs. |
L'arrière est évidé pour recevoir le tube
pour passer l'antenne. |
Le bloc arrière est entaillé à la queue
de rat pour le passage du tube d'antenne. |
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On voit ici l'encoche faite pour glisser le tube d'antenne. |
Les coffrages sont également prédécoupés. |
Pose des coffrages, fibres transversales. |
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Le bloc peut être collé, mais la poutre de queue
pas encore. |
Un bloc de balsa est utilisé pour former le nez. |
Je l'ai fendu en deux pour pouvoir changer le sens des fibres. |
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Les deux triangles obtenus sont collés l'un contre l'autre. |
Le couple avant est encollé à la colle blanche. |
Le bloc est en place, il faudra un généreux ponçage
pour le mettre en forme. |
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Une extrémité des fourreaux est pincée
afin que les clés ne pénètrent pas dans l'aile. |
Les 3 nervures à l'emplanture sont en contreplaqué. |
Mise en place des fourreaux de clés dans les nervures,
sans les coller. |
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Le longeron est dégressif en bout d'aile, grâce
à des tubes gigognes. |
Bien repérer les nervures et les enfiler une à
une sur le longeron. |
L'aile est construite extrados contre le chantier. Noter les
queues de nervures. |
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Les nervures d'extrémité sont biseautées
pour le collage du faux bord d'attaque. |
Le faux bord d'attaque est collé contre la pointe des
nervures. |
Une règle lestée permet à l'aile de rester
bien à plat pendant le collage. |
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Les flancs sont protégés avec du ruban adhésif. |
Les ouvertures sont faites pour passer les clés d'ailes. |
Les clés sont mises en place dans les fourreaux. |
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Une demi-aile est glissée pour plaquer la
nervure contre le flanc du fuselage. |
Lorsque la nervure d'emplanture est parfaitement plaquée,
elle est collée. |
Effectuer la même opération pour l'autre demi-aile. |
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L'aile est remise extrados sur le chantier, puis
le coffrage du bord de fuite est posé. |
Après séchage, l'aile est retournée pour
s'assurer du collage des nervures. |
Le faux bord d'attaque est finement poncé pour affleurer
les nervures. |
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Mise en place du coffrage d'emplanture, avec l'ouverture pour
le servo. |
Le coffrage est collé à cheval sur les 3 preimières
nervures. |
Le coffrage au bord d'attaque est alors collé, aile toujours
à plat sur le chantier. |
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Des petits blocs de samba sont livrés pour tenir la trappe
du servo. |
Ils sont collés dans les 4 angles, à cheval sur
l'ouverture. |
Un autre bloc est placé au niveau où sera vissé
le crochet destiné à plaquer les ailes. |
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Un renfort en balsa est prévu pour le bord de fuite à
l'emplanture. |
Le renfort en balsa est collé ainsi que celui qui se
trouve contre la nervure suivante. |
Les queues de nervures ne sont plus utiles et peuvent donc être
détachées. |
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Même chose sur les nervures d'emplanture à
l'endroit du coffrage. |
Une corde à piano (commande de prof) est immobilisée
à 2 cm du bord de fuite. |
Elle sert à déformer le profil qui est très
légèrement creux sur l'arrière. |
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Le bord de fuite est délicatement poncé pour ne
faire qu'environ 0,5 mm. |
Même chose sur toute l'envergure et surtout au niveau
du renfort d'emplanture. |
L'autre tranche du faux bord d'attaque est à son tour
ajusté aux nervures. |
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Le chantier est protéger avec du ruban adhésif
ou du film plastique. |
Le coffrage du bord de fuite peut être effectué
sans coller les ailes sur le chantier. |
On voit que les cordes à piano creusant le profil sont
toujours en place. |
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Le coffrage est déjà en forme, prêt à
être posé. |
Un filet de colle blanche est posé au niveau des queues
de nervures. |
Le bord de fuite est encollé à la cyano épaisse
puis le coffrage plaqué dessus.. |
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Un peu d'ajustage peut être nécessaire. |
Ici, il a fallu retirer environ 2 mm. |
Collage du coffrage au bord d'attaque. |
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Une demi-aile est prête, il reste à coffrer l'autre
de la même façon.. |
Les coffrages dépassent légèrement au bord
d'attaque. |
Un mini-rabot est un outil pratique pour les mettre en forme. |
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Les coffrages sont ajustés contre le faux bord d'attaque. |
On coupe l'excédent de faux bord d'attaque qui dépasse
au saumon. |
Un coup de ponçage permet d'obtenir une surface bien
régulière. |
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Même chose côté saumon en laissant dépasser
l'extrémité du longeron. |
Les saumons sont composées de 3 couches. |
Les fibres sont croisées pour une meilleure rigidité. |
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Contre-collage des saumons en 3 épaisseurs, c'est du
solide. |
Un petit coup de ponçage permet d'obtenir une surface
bien plane. |
Encollage pour mettre en place la baguette de bord d'attaque. |
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Le bord d'attaque en samba est plaqué sur toute l'envergure. |
Ce qui dépasse est recoupé aux extrémités. |
Encollage des saumons, en remplissant le passage du longeron. |
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L'extrémité du longeron pénètre
dans les saumon. |
Les saumons sont plaqués contre l'aile durant le séchage. |
Rabotage de la baguette samba du bord d'attaque. |
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Ponçage dans le prolongement du profil pour arrondir
le bord d'attaque. |
Même chose au saumon et au bord de fuite. |
Bien affiner le saumon intrados et extrados dans le prolongement
du profil. |
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Les angles sont poncé à 45° afin de faciliter
le ponçage en arrondi. |
Même chose sur toute la longueur du fuselage. |
Au niveau des couples et de la platine, la fente peut disparaitre. |
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Pour cela, on dépose quelques gouttes de cyano liqude... |
... puis on recouvre le tour de sciure de balsa... |
... et enfin, on ponce avec énergie. Ca consomme un peu
de papier de verre... |
Mise
en croix et dernières découpes |
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Le fuselage est poncé. On voit les baguettes
d'angles qui apparaissent sous le coffrage. Petite mise en croix
pour le plaisir. |
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Les plots qui retiennent la verrière sont
fendus avec une lame de scalpel, il n'y a qu'à suivre la
découpe laissée par le laser. Si de la colle s'est
infiltrée, il faut un peu insister. |
Si vous avez suivi le conseil donné plus haut, vous n'aurez
pas de problème à cause du couple qui l'empêche
de se détacher (Modif signalée au fabricant et sans
doute corrigée depuis). |
J'ai préféré décaler d'1 cm la découpe
d'emplanture de l'aileron car je trouvais que la partie solidaire
de l'aile soit un peu fragile. Certainement pas indispensable
puisqu'il existe un renfort interne. |
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Les ailerons sont découpés en s'appuyant contre
une règle. Ne pas forcer au passage de chaque nervure. |
Il est plus facile de faire une fente de chaque côté
plutôt que d'essayer de tout couper d'un coup. |
Les baguettes permettant de coffrer les chants sont ajustées
à la longueur désirée sur l'aile. |
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Elles sont ensuite collées. |
Un plateau de scie inclinable facile le biseautage. |
Il est cependant possible d'utiliser un cutter. On égalisera
à la cale à poncer. |
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Coffrage des chants avec des baguettes qui doivent bien dépasser
à l'extrados. |
On termine le ponçage de l'aile en ajustant la baguette. |
Même chose avec les ailerons, en travaillant à
plat pour éviter les vagues. |
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Les quelques accessoires formant le verrou de la
cabine. |
Une fente est effectuée dans le coffrage, en suivant
celle du contreplaqué. |
Ajustage du bloc fendu autour de la corde à piano de
verrouillage. |
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Le bloc de samba est recoupé en biseau à une extrémité. |
Il est ensuite mis en place, sans coller la corde à piano
qui coulisse. |
Pour la retenue à l'avant, une petite baguette de samba
est livrée. |
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La retenue collée à l'avant. |
Renfort à l'arrière de la trappe. |
Les retenues latérales mises en place. |
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La finition est intégralement réalisée
avec du film rétractable Oracover. La
méthode est décrite ici. |
Une aiguille chauffée permet d'effectuer des trous propres
en "soudant" le film. |
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Exemple d'entoilage des trappes de servos d'ailerons
avec l'aiguille chauffée au briquet pour fendre le film
en le recollant. |
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Les charnières sont en fibre, sans axe. |
Une fente et elles sont glissées en place. |
Le volet est enfilée sur la dérive. |
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Ouverture pour le passage du raccord des volets de stab. |
Collage des charnières par infiltration de cyano liquide. |
Le décor adopté est celui du proto de BLH, bien
voyant. |
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Il faut plusieurs morceau et ça prend plus
de temps mais le résultat en vaut la peine. Le décor
a été découpé dans un vinyle avec
une machine Silhouette. |
Pose
des commandes et installation radio |
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Les gaines de direction et profondeur sont solidarisée
sur une petite baguette. |
Quelques morceaux de ruban adhésif enroulés suffisent. |
Perçage du tube à l'aile d'une fraise pointue.
Le scotch papier évite de riper. |
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Les cordes à piano des commandes sont glissées
depuis l'arrière, dans les trous fraisés, pour déboucher
à l'avant. |
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Elles sont enfilées dans les gaines puis
ces dernières sont poussées jusqu'à déboucher
à l'arrière. |
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La dérive se colle sur le tube. Son passage est prévu. |
Deux petits morceaux de contreplaqué sont prévus
pour la centrer correctement. |
Il ne reste qu'à la coller à la cyano pour bois
durs. |
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La poutre est glissée dans le fuselage à travers
le bloc et jusqu'au couple. |
L'excédent de baguette est recoupé. Attention
aux gaines de commande. |
Les servos Pro-Tronic 7450 NG-D utilisés pour la profondeur
et la direction. |
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Les servos sont vissés sur la platine. Celle-ci
est percée en fonction des pattes de fixation. |
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Les commandes sont ajustées en longueur en
fonction du palonnier de servo. |
Le guignol en époxy doi être percé. |
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Perçage du guignol. |
Découpe de l'entoilage pour le guignol. |
Mise en place du guignol dans le renfort. |
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La commande est légèrement contrainte vers le
bas, elle ne nécessite pas de baïonnette pour rester
en place. |
Le palonnier est repercé au diamètre du serre-câble. |
Mise en place du serre-câble sur le palonnier. |
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L'extrémité de la commande de profondeur est repliée
à la pince pour former une petite boucle. |
Cette boucle est destinée à bloquer fermement
la commande dans la chape à rotule. |
La chape est repercée à 2 mm.
Ne pas la tenir à la main mais utiliser plutôt une
pince. |
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Le morceau de gaine blanche sert à centrer
la commande. Le tout est enfilé dans la chape puis collé. |
Repérer l'emplacement de la chape sur le volet de profondeur. |
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Percer le volet à 2 mm. |
Coller dedans la base de la chape. |
Enfiler la poutre et passer les commandes. |
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Aligner parfaitement la poutre par rapport à l'aile. |
Quand l'alignement est correct, coller le tube à la cyano
sur le couple. |
Coller également la poutre à l'arrière
du fuselage. |
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Une corde à piano permet de tirer les prises
de servo d'ailerons à travers les nervures. |
Les servos utilisés sont des Vigor VS12M. |
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Ils mesurent 8 mm d'épaisseur. |
Collage au double-face pour moquette... |
... renforcé avec de la cyano épaisse. |
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Perçage à travers les trous de la trappe pour
les vis de fixation. |
Le guignol est aligné avec le palonnier avant de percer
l'aileron. |
Deux trous sont percés pour les pattes du guignol. L'entoilage
est également retiré. |
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Collage du guignol sur l'aileron. |
Perçage du guignol pour la chape. |
Perçage de la chape. |
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La commande en jonc carbone. |
Pré-perçage de l'emplanture. |
Vissage du crochet de maintient des ailes. |
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Le crochet est vissé contre l'emplanture. |
J'ai évidé le couple afin de pouvoir
glisser les clés d'ailes dans le fuselage durant le transport,
ça évite de les oublier. |
Le centrage de la notice est obtenu avec 10 g de
plomb, un pack de 4 éléments 1000 mAh et un récepteur
compact. Avec une récepteur en 2,4 GHz, il n'y a pas d'antenne
déportée loin derrière, donc sans doute pas besoin
de plomb.
Pour les débattements, j'ai fait confiance à la notice
et ils conviennent parfaitement..
Le modèle est rapidement mis en croix sur le terrain. Les demi-ailes
sont maintenues plaquées contre le fuselage au moyen d'un élastique
ou d'un collier nylon.
La prise en main pour le lancé est un peu
juste car le fuselage n'est pas très haut. Heureusement, l'index
et le majeur se placent de part et d'autre et viennent en appui sur
le bord de fuite, permettant de lancer avec énergie.
La dynamique n'a pas besoin d'être très puissante pour
rester en l'air car la charge alaire est faible et le Fun Acro est
très fin. Mais c'est quand le vent souffle que son nom se vérifie.
Les gouvernes sont mordantes et précises. Les tonneaux passent
à toute vitesse mais s'arrêtent de façon bien
nettes, permettant de réaliser des facettes précises.
Le vol dos tient bien sûr en poussant très légèrement
et il est possible de gratter encore correctement dans cette configuration.
La dérive permet d'effectuer toutes sortes de figures que l'Evolution
60 ne peut pas faire : déclenchés violents, vrilles
ventre ou dos, des renversements précis, etc. Pour le vol tranche,
la surface latérale étant faible, ça ne tient
pas longtemps et il faut beaucoup de vitesse.
Le Fun Acro n'est donc pas un mini Cortals, un pur planeur de voltige.
C'est un modèle de détente facile à remuer
Grâce à sa facilité de transport,
sa robustesse et ses performances, le Fun Acro est du voyage à
chaque séance de vol de pente.
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En compagnie d'un autre Fun Acro l'été
dernier : celui de Jean-Charles, un poil plus léger. Le
comportement est le même. |
Contacter l'auteur : laurent@jivaro-models.org
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