Si vous avez vu le film TopGun Maverick (sorti
en 2022) avec Tom Cruise, le Darkstar visible dès les premières
images vous a forcément tapé dans l’œil avec
ses lignes fantastiques. Piloté par le héros, ce jet capable
de dépasser Mach 10 est poussé au-delà de ses limites…
et finit par se désintégrer en vol !
Laurent Schmitz nous avait présenté sa
magnifique reproduction imprimée en 3D qui ne volait pas
comme espéré mais dont je me suis bien inspiré.
Je vous propose aujourd’hui d’en réaliser une maquette
simplifiée propulsée par 2 turbines électriques,
qui elle, ne se désintégrera pas. Ou du moins… pas
en vol !
Vidéo détaillant toutes des étapes
du montage du Darkstar, avec un aperçu des premiers vols.
Même si ce n'est
pas une maquette précise, on reconnait le Darkstar au premier
coup d'œil.
C'est au début
du film Top Gun Maverick que l'on peut admirer les lignes du Darkstar.
Caractéristiques techniques
Envergure
: 53 cm
Longueur : 100 cm
Poids : 710 g
Surface : 25,7 dm²
Charge alaire : 29 g/dm²
Profil : Planche
Equipements
Moteurs : Brushless M1908-8600KV
Turbines : XF4008B (8 pales, 40 mm, CCW)
et XF4008BR (8 pales, 40 mm, CW)
Contrôleurs : Robbe Ro-Control 3-40 40A
Batterie : Li-Po 3S 2400 mAh
Le plan
Le plan du Darkstar dessiné échelle
1 est téléchargeable au format PDF (570 ko).
Faire un clic droit sur l'image puis "Enregistrer la cible
du lien sous...)
Pour un plan tiré sur papier, échelle 1, contre
10 € port compris auprès de laurent@jivaro-models.org
Suggestion de placement des pièces sur la
planche de Depron de 6 mm.
Matériaux nécessaires
- 2 feuilles de Depron de 6 mm en 1000x600
mm
- 1 feuille de Depron de 3 mm en 1000x600 mm
- 4 profilés plat carbone 1x6 mm
- 4 feuilles de plastique (couvertures reliures)
- Contre-plaqué 2 mm
- Contre-plaqué 0,6 mm
- Baguette bois dur 10x10 mm
Les nacelles supérieures
Des gabarits en papier sont utilisés pour reporter le contour
des pièces.
On attaque par les nacelles supérieures, dont la base est composée
de 2 épaisseurs afin d’avoir une marge suffisante en hauteur,
permettant de biseauter les flancs. Les morceaux sont réunis
provisoirement au sotch double-face. Ils sont également immobilisés
de la même manière sur le plan de travail.
Une cloison trapézoïdale est collée au centre. Les
flancs sont courbés et collés sur la base, inclinés
selon l’angle donné par la cloison.
L’excédent de matière est recoupé délicatement
au cutter puis lissé bien à plat à l’aide
d’une cale à poncer.
La cloison est échancrée afin d’y glisser la dérive.
L’angle d’inclinaison est donné par la découpe.
Le dessus est collé puis poncé en arrondi. La base des
flancs est recoupée à l’horizontal en prenant appui
sur le chantier avec une lame surélevée servant de trusquin.
Après séchage, séance ponçage au papier
de verre grain 80 pour commencer puis 320 pour affiner. L’emplacement
des dérives est tracé puis découpé avec
application. On vérifie que les dérives se glissent correctement
dans leur emplacement et qu’elles respectent le bon angle d’inclinaison.
L'âme centrale
aile/fuselage
Passons à la pièce principale. Deux planches de Depron
sont réunies dans la longueur à l’aide de colle
époxy.
La pièce principale incluant l’aile et l’âme
horizontale du fuselage est découpée dans cette planche,
bien centrée sur le collage effectué précédemment.
L’emplacement des longerons est reporté sur l’aile.
Ces longerons sont en plat carbone de 0,5 par 6 mm. Ils sont recoupés
afin de s’arrêter environ 2 cm avant les contours de l’aile.
L’aile est fendue au cutter de façon à y glisser
les longerons.
Du ruban adhésif est appliqué sur une face pour empêcher
la colle de passer à travers l’aile.
Le longeron glissé dans la fente permet de l’élargir
très légèrement. De la cyano lente est appliquée
dans la fente et sur les 2 faces du longeron. Celui-ci est glissé
au fond dans son emplacement en appuyant fermement.
On travaille bien à plat sur le chantier. L’excédent
de colle est essuyé avant séchage. Un jet d’activateur
de cyano peut-être appliqué sur le collage.
L’emplacement des longerons longitudinaux est tracé puis
fendu. Les longerons sont alors encollés et glissés dans
les fentes.
Deux pièces en contre-plaqué collées en croix
permettront de renforcer considérablement l’avant. L’âme
est découpée afin d’y glisser ces renforts. Le collage
s’effectue à l’époxy, sous la face de l’avion.
Deux petits renforts sont placés au niveau du crochet de catapultage.
Le dessous de l’avion est comblé avec des morceaux de Depron.
L’ajustage s’effectue sur place.
Egalisation des épaisseurs à l’aide d’une
cale à poncer. La pointe qui dépasse sur le dessus impose
de la laisser dépasser du chantier pour travailler à plat.
Derniers éléments de coffrages à l’intrados.
Les arrêtes sont dégrossies prudemment avec une longue
lame de cutter. S’en suit un ponçage permettant d’obtenir
des formes courbes bien régulières. A l’extrados,
le compartiment batterie est évidé jusqu’à
la platine en bois afin de gagner quelques précieux millimètres
en hauteur car la place est comptée.
Les cloisons du dessus sont découpées et fendues tout
comme l’âme verticale. L’emplacement des cloisons
est tracé.
Collage de l’âme centrale parfaitement centrée et
verticale. Mise en place des cloisons bien à l’équerre,
à l’avant puis à l’arrière.
Les tuyères et
leurs conduits
Les turbines électriques utilisées sont des PowerX XDF40,
de 40 mm de diamètre. L’une tourne dans le sens des aiguilles
d’une montre. L’autre à l’inverse. Elles sont
livrées montées avec les moteurs brushless adaptés
en parfaitement profilés.
Les conduits de tuyères sont réalisés à
l’aide de feuilles de plastique servant à faire des couvertures
de reliures. C’est léger, ça se plie et se tord
et la surface est parfaite ce qui est important pour un conduit de tuyère.
Pour la partie arrière, elles ne sont pas parfaitement cylindriques
mais forment un léger cône plus étroit à
l’arrière. La jonction se fait bord à bord à
l’aide de ruban adhésif. La feuille de plastique est roulée
et collée bord à bord sur l’adhésif. Le diamètre
est un peu plus important au niveau de la turbine.
Des cloisons permettant de bien immobiliser la turbine et sa tuyère
sont découpées et évidées. La partie avant
de la tuyère est pyramidale puis devient conique. L’avant
de la feuille de plastique est pliée à angle vif le long
d’un réglet, sans aller jusqu’à l’arrière.
Ici encore, les bords de la feuille sont réunis avec du ruban
adhésif. Collage des cloisons sur les conduits de tuyère.
La turbine est prise en sandwich et n’a pas besoin d’être
collée.
Pour le fun, les tuyères peuvent être peintes par l’extérieur,
en noir pour la partie avant et en dégradé de rouge vers
du orange (ou du jaune) pour la partie arrière afin de simuler
la postcombustion.
La tranche des flancs est biseautée de façon à
reposer bien à plat sur le chantier.
Le dessus est recoupé bien à l’horizontale. Egalisation
à l’aide d’une cale à poncer, jusqu’à
affleurer les cloisons.
Collage du coffrage formant le fond des nacelles moteur.
Par erreur, j’avais fait des angles identiques sur le flanc des
nacelles. L’entrée d’air a été recoupée.
Ponçage en arrondi des lèvres d’entrée et
de sortie d’air.
L’emplacement des tuyères est tracé à l’intrados.
Le fond du coffrage est retouché afin que les nacelles reposent
bien à plat.
Un trou permet le passage des câbles d’alimentation du moteur.
Ce trou débouche à l’extrados, entre les cloisons.
Il sera invisible après le coffrage. Les nacelles sont ensuite
collées bien à plat et exactement dans l’axe.
L’âme centrale est retouchée au niveau du compartiment
batterie.
Deux morceau de mousse sont placés de chaque côté
du compartiment batterie. La pointe avant pourrait être constituée
de feuilles de Depron empilées. J’ai préféré
faire plus résistant en utilisant un bloc de styro. Découpe
en pointe de la mousse puis ponçage sur la face qui doit être
encollée. Les blocs sont collés à l’époxy
puis ajustés après séchage. Une cale convexe permet
un ponçage dans l’alignement de la courbe des cloisons.
Les servos d’élevons sont placés sous l’aile,
à travers les cloisons des nacelles. Ils sont placés assez
en avant afin d’éviter d’alourdir l’arrière
de l’avion, dans le but de ne pas devoir rajouter de plomb de
centrage. Le câble découche à l’extrados,
au niveau de la nacelle supérieure.
Le servo est immobilisé dans son emplacement avec de la colle
au pistolet. La saignée pour le passage du câble est tracée
puis évidée.
Le câble est collé à plat dans cette saignée.
Mise en place des contrôleurs immobilisés au double face
dans l’aile.
Ces contrôleurs 30A se sont avérés insuffisants
et ont été remplacés après les premiers
essais par des 40A.
Les fils d’alimentation sont réunis par paire afin de
limiter le nombre de connecteurs à un seul pour la batterie.
La gaine thermo est glissée avant de souder.
Les contrôleurs sont dotés d’un système BEC
permettant d’alimenter la réception. Afin de ne pas l’alimenter
avec deux fois trop de puissance, l’un des BEC est neutralisé
en retirant le fil rouge de la prise.
Pour éviter tout risque de court-circuit, le contact est recouvert
d’un morceau de gaine.
Coffrage du fuselage
Il est temps de passer au coffrage du fuselage. La partie arrière
reçoit un coffrage triangulaire en une pièce par côté.
La base au contact de l’aile est poncée en biseau prononcé
sur toute la longueur.
La partie haute de l’âme est poncée en pointe de
chaque côté afin d’offrir une bonne surface de collage
au coffrage. Le coffrage est plaqué de façon bien rectiligne
sur l’aile puis sur les cloisons et enfin sur l’arrête
de l’âme verticale.
A l’avant, il est recoupé de façon à recouvrir
la cloison à mi-épaisseur. Il est aussi ajusté
à mi-épaisseur de l’âme verticale.
La surface de collage doit être bien lisse.
Les opérations sont répétées en symétrie
sur l’autre face. Le deuxième coffrage est alors découpé
pour s’ajuster parfaitement le long du premier.
On procède de la même façon pour le nez de l’avion.
Ici encore, le coffrage est recoupé avec précision au
ras de celui qui est en place. Le fuselage est complètement fermé,
avec tout l’équipement à l’intérieur.
Un filet de cyano est infiltré au niveau des jonctions suivi
d’une pulvérisation d’activateur et le bord du coffrage
est plaqué durant le séchage.
Malgré le soin apporté, il peut subsister quelques fentes
qui seront facilement masquées à l’aide de ce mastic
super léger simple à appliquer et à poncer. Le
mastic est enfoncé au plus profond dans les fentes. L’excédent
est aussitôt essuyé, ça simplifiera le ponçage.
Ne pas hésiter à recouvrir les jonctions et le passage
des longerons. Ponçage au papier de verre épais puis beaucoup
plus fin pour finir.
A ce stade, le modèle pèse
454 g (sans la batterie).
Renfort arrière
Afin de renforcer la pointe arrière et d’obtenir une prise
solide pour tenir l’avion lors du catapultage, un placage est
découpée dans du contre-plaqué aviation fin. Les
bords sont affinés par ponçage.
Le collage s’effectue à la colle époxy. Ici encore
on travaille bien à plat pour ne pas déformer l’aile.
Découpe des élevons en s’assurant de ne pas riper.
Une lame de scie à métaux servant de guide possède
des dents qui l’empêchent de glisser. L’extrémité
intérieure des élevons est recoupée d’1 mm
afin de permettre le débattement sans frottement.
Côté articulation, la gouverne est taillée de chaque
côté pour former un V. Les charnières sont en fibre,
sans axes. Pas besoin de mettre de grosses charnières, elles
sont donc recoupées en 3. Les fentes doivent être horizontales
et bien centrées.
3 charnières par gouverne suffisent. Le collage s’effectue
à la cyano. Ne pas coller les gouvernes sur l’aile pour
le moment, ce sera fait après peinture.
Le marouflage au papier
L’avion pourrait être peint directement mais le Depron
est fragile et se marque très facilement. Je préfère
obtenir une surface régulière et un peu plus dure en recouvrant
la totalité de l’avion avec du papier Modelspan.
Le papier est plaqué sur l’avion en utilisant un mélange
de colle à bois diluée avec un peu d’eau. Le mélange
doit avoir à peu près la consistance du lait. L’encollage
se fait avec un pinceau souple, en progressant doucement de façon
à éviter les plis.
Le papier peut être très faiblement étiré.
Ne pas faire de plis ni de coupes nettes aux ciseaux car ce sera visible
après peinture. Quand le papier ne peut pas être étalé
correctement pour recouvrir une arrête ou une surface courbe,
il est préférable de le déchirer. Le raccord sera
quasi invisible. Ne pas chercher à recouvrir d’un coup
une grande surface, la progression se fait doucement.
Sous l’avion, il est possible de mettre 2 épaisseurs de
papier pour renforcer davantage.
Après séchage, l’excédent de papier est ajusté
au cutter.
La base des dérives est tranchée de façon à
obtenir l’angle d’inclinaison nécessaire. Collage
des dérives dans les nacelles moteurs en contrôlant l’angle
de pincement.
Un gabarit permet de tracer les contours de la trappe de façon
précise et symétrique. La trappe est découpée
sans faire riper la lame.
Il est nécessaire d’utiliser une longue lame pour tronçonner
les cloisons à l’intérieur. Le compartiment batterie
est évidé.
Pour rendre le papier insensible à l’humidité, toutes
les surfaces sont enduites de vernis aquaréthane pour parquet.
On peut épaissir ce vernis avec du talc afin d’obtenir
un produit bouche-pores. Selon son niveau de patience, on peut appliquer
plusieurs couches en ponçant entre chaque.
Peinture et finitions
Le modèle est alors peint à la bombe avec une peinture
aquarethane. J’ai utilisé du « Noir Carbone »
pour le fond et du « Terre d’ombre brûlée »
pour les zones contrastées.
De nombreux masquages sont nécessaires.
Le ruban adhésif papier convient pour les lignes droites ou les
courbes douces.
Le ruban d’électricien est utilisé pour les courbes
plus prononcées.
Après séchage, les masquages sont retirés sans
arracher la peinture.
532 g après
peinture. Il reste le décor final a appliquer.
Une fois les gouvernes peintes, les charnières peuvent être
collées. L'avion est une nouvelle fois totalement masqué
afin de recevoir les dernières touches du décor.
Les commandes
Les guignols ont été modélisés puis imprimés
en 3D. La patte qui entre dans la gouverne permet un ancrage solide.
L’emplacement est défini sur la gouverne, dans l’alignement
du palonnier de servo.
Les guignols sont
imprimés en 3D avec du PLA ou du PETG. Le fichier STL est
téléchargeable.
Afin d’assurer un collage efficace, le papier est retiré
au niveau de la base du guignol. Les charnières sont ensuite
encollées puis les gouvernes sont mises en place.
On s’assure du débattement avant séchage. Les tringles
de commande sont en jonc carbone de 2 mm. Les embouts de chape sont
collés aux extrémités.
Un crochet permettant de recevoir une catapulte pour le décollage
est vissé au niveay du renfort sous le fuselage.
Le décor
Des gabarits sont utilisés pour marquer l’emplacement des
trappes. Un morceau de bristol plié en deux, pas exactement au
milieu afin d’obtenir un léger décalage, sert de règle.
Le décalage évite que l’encre du feutre Posca couleur
Argent bave dessous. Ce guide souple permet de suivre les courbes.
Les masques des cocardes et inscriptions ont été découpés
dans du vinyle « spécial masquage » avec une machine
Silhouette SD.
Une fois échenillée, la feuille de vinyle est plaquée
sur un morceau de film transfert.
Les autocollants sont découpés puis positionnés
sur l’avion. Une fois appliqués, le film est retiré.
Il faut encore masquer l’avion afin d’appliquer la peinture
du décor.
Certains éléments du décor ont été
imprimés sur du papier autocollant. Afin que l’encre reste
en place, une couche de vernis en bombe transparent est appliquée
avant découpe, et une autre éventuellement après.
Le putois Skunky du bureau des Skunk Works de la firme Lockheed est
découpé dans du vinyle. D’abord le noir avec les
détails puis le fond blanc. Les deux couleurs sont positionnées
l’une sur l’autre avant le placement sur l’avion à
l’aide d’un film transfert.
Les vitres de la cabine sont confectionnées avec une couche
de gris pailleté foncé superposée sur une couche
de gris argent un peu plus large, donnant l’aspect d’un
encadrement.
Pour permettre au film de glisser afin de bien le positionner, on étale
une goutte de produit vaisselle diluée à l’eau sur
la zone de collage. Il est ainsi possible de le déplacer jusqu’à
ce que le positionnement soit parfait. Le film est alors lissé
et le liquide qui déborde autour est essuyé.
La trappe est maintenue à l’avant par un tourillon en
hêtre. L’âme verticale est percée avec une
lime queue de rat. Le tourillon mesure plusieurs centimètres
afin d’obtenir une bonne surface de collage dans la mousse.
A l’arrière, c’est un verrou à ressort du
commerce qui est installé. Bien repérer l’emplacement
de la tirette. Le ressort est protégé de la colle par
un petit morceau de ruban adhésif. Le collage est effectué
avec de l’époxy épaissie au micro-ballon. Pour une
bonne tenue, un congé de colle est étalé tout autour
du verrou.
La faîtière est creusée afin d’y glisser un
petit bloc de bois dur collé lui aussi à l’époxy
épaissie. Pour repérer l’emplacement de la tige
du verrou, on y met un peu de peinture ou de feutre. La trappe est aussitôt
plaquée à sa place et le verrou poussé. Il reste
à percer le passage de la tige à l’endroit de la
marque.
Et voilà, vous avec tous les éléments pour réaliser
votre propre Darkstar.
En vol
Cette reproduction reste relativement simple à construire à
base de Depron et est abordable financièrement.
Ici, il s’agit de la première séance de vol.
Départ lancé à la main car l’élastique
de la vieille catapulte apportée était sec et inutilisable.
On arrive quand même à propulser l’avion de façon
efficace. Par prudence, le centrage était un peu avant pour ce
baptême de l’air d’où une certaine lourdeur
à la profondeur.
Il était équipé avec des contrôleurs inadaptés,
qui chauffaient et finissaient par se mettre en sécurité
d’où des atterrissages… imprévus ! Ils
ont été remplacés depuis et tout va bien désormais.
En vol, l’allure est sympa, le modèle est sain quand il
est équipé de contrôleurs qui ne coupent pas aux
mauvais moments. La vitesse de vol est suffisamment rapide pour un jet
de cette taille.
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