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Chocolat'In, un p'tit plaisir à partager...
Présentation : Laurent Berlivet. Photos en vol : Pascal Cepeda
Les kits en structure à construire, on adore ça : abordables, légers, durables, personnalisables... Parmi la vaste gamme Silence Model, on trouve cette minuscule Chocolat'In, une aile volante aux lignes adorables, croquée par François Richard.
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Elle n'est pas bien grosse cette Chocolat'In
et pèse seulement 112 g (c'est deux fois le poids d'un pain
au chocolat !  ).
Pourtant, elle peut affronter pratiquement tous les vents à
la pente.Prévoir quelques soirées pour le montage du kit. Tout est bien conçu, ça va vite. |
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Caractéristiques
techniques |
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Silence Model met le paquet, en poussant
loin le packaging. La Chocolat'In est en effet livrée dans une poche en papier imprimée ! "Made in Sud-Ouest", c'est écrit dessus. |
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| Dans la poche, un sachet plastique qui contient toutes les pièces découpées au laser, les longerons et clé d'aile en tube carbone, ainsi que quelques accessoires et l'autocollant avec le nom du modèle. | ||
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Toutes les pièces sont parfaitement
découpées au laser, et soigneusement numérotées. |
Pas de ponçage fastidieux :
les gouvernes en balsa sont livrées profilées. |
Les bords d'attaque et faut bords
de fuite sont encochés pour recevoir les nervures. |
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Etaler le plan sur un petit chantier.
Un coin de table dans le salon suffit. |
Les flancs sont encochés pour
recevoir les couples, la clé d'aile, découper la
cabine... |
Légère retouche avec
une queue de rat pour que la clé d'aile coulisse librement. |
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Même chose pour
les renforts de flancs qui sont collés à la cyano.
(Assembler bien sûr deux flancs symétriques et non
pas identiques...) |
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| Des baguettes viennent se coller dans les angles. Sur le dessus, la courbe est assez prononcée. Il peut être nécessaire de les encocher. | ||
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| A l'arrière, les deux baguettes se rejoignent en sifflet. Il est donc nécessaire d'en retailler au moins une. | ||
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A l'avant, ça
dépasse un peu. L'excédent est recoupé à
la scie pour ne pas endommager le bois. Les deux flancs sont ensuite
alignés l'un contre l'autre et égalisé d'un
coup de cale à poncer. Pour qu'ils restent bien alignés,
la clé est mise en place, et une chute de bois est glissée
à travers les encoches du couple avant. |
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L'arrière du fuselage
est pincé autour de la dérive. Il est nécessaire
de le retailler en pointe, toujours avec une petite scie pour
que ce soit rectiligne. |
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| Petit coup de cale à poncer pour égaliser tout ça. | ||
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| Les tenons des couples doivent être légèrement poncés en biseau afin de bien épouser les baguettes. | ||
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Les couples sont emprisonnés
entre les flancs. Ces derniers sont pincés à l'arrière,
en tenant compte de l'épaisseur de la dérive. |
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| Les coffrages sont prédécoupés et numérotés pour un repérage facile. | ||
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| Le haut des couples doit être poncé dans le prolongement des flancs pour un bon ajustage. | ||
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| Pour que les flancs forment un bel arrondi sur l'avant, une entretoise provisoire a été intercalée à l'avant. | ||
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| Le couple avant est pincé entre les flancs. Là encore, un peu d'ajustage est nécessaire. | ||
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| Collage sous presse pour bien contraindre les flancs durant le séchage. | ||
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| Collage des coffrages supérieurs et inférieurs. L'avant est alors recoupé pour affleurer le couple. | ||
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| Le couple avant est poncé dans le prolongement des flancs. | ||
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Le nez est constitué
d'un empilement de planchettes de balsa. Il y en a en trop, inutile
de les coller pour ne pas devoir les faire disparaître par
ponçage. |
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| Parmi les accessoires livrés, de une baguette de bois dur et un morceau de papier abrasif pour confectionner une cale à ponce sur-mesure. | ||
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| L'abrasif est collé sur la baguette puis arasé le long des bords. | ||
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| Les encoches des bords d'attaque et de fuite peuvent être légèrement retouchées pour que les nervures s'emboîtent parfaitement. | ||
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| Le bord de fuite est épinglé sur le chantier puis les nervures sont glissées dedans une par une. Le longeron permet de bien les aligner. | ||
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| Une fois le longeron en place, le bord d'attaque peut être posé. | ||
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| La clé d'aile entre dans le longeron. Son extrémité peut être poncée en léger arrondi. | ||
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| Les supports de servos s'intègrent entre les deux nervures d'emplanture. | ||
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| De petits renforts triangulaires sont collés à la base de certaines nervures. | ||
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Les saumons sont normalement
faits avec une planche de balsa collée sur la tranche.
J'ai préféré augmenter l'épaisseur
sur toute la hauteur de la nervure en rajoutant un autre morceau
de bois. |
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En se guidant avec les
trous percés dans les flancs, les nervures d'emplanture
et les goussets sont percés avec une mèche de 2
mm. |
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| Les tiges d'incidence se colleront dedans,après entoilage. Les baguettes trop longues sont recoupées puis les nervures sont protégées avec du ruban adhésif papier. | ||
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| La mise en forme dans le prolongement des nervures s'effectue au rabot puis à la cale à poncer. | ||
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| Les arêtes sont poncées dans un premier temps à 45° puis le fuselage est finement arrondi avec du papier de verre de plus en plus fin. | ||
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| Ne pas hésiter à grignoter les flancs et les coffrages en s'aidant de la baguette d'angle comme repère. | ||
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| Les deux morceaux de la dérive sont assemblés, puis profilés. On vérifie qu'elle se glisse bien dans son logement mais elle ne sera collée qu'après entoilage. | ||
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| Une cale est livrée pour positionner la gouverne au neutre. Bien utile pour aligner l'extrémité du saumon. | ||
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Tout juste 50 g pour la cellule nue
sans entoilage et sans radio. |
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| J'ai ajouté 2 cloisons pour former un boîtier autour du servo qui servira à tenir l'entoilage. | ||
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| La cabine peut être délicatement séparée du fuselage en suivant la pré-découpe. | ||
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| Les bords de la cabine sont doublés par des guides en balsa. | ||
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| Pour la fixation des ailes, rien n'était prévu. J'ai mis des petits aimants cubiques au néodyme que j'avais en stock. Des cylindriques de 3x5 mm conviendraient davantage. | ||
| Note : Le fabricant, toujours très à l'écoute de sa clientèle, a prévu d'ajouter des aimants dans sa prochaine série. | ||
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| Il faut s'appliquer pour les perçages pour que ça entre juste en force. Pour permettre leurs débattements, les élevons sont taillés en biseau au bord d'attaque d'un coup de cutter en s'aidant d'une règle. | ||
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| Pour changer, l'entoilage du fuselage a été réalisé avec du film vinyle adhésif. Il pesait 13 g avant décoration. | ||
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| Contrairement à un entoilage classique, le vinyle n'est pas thermorétractable. | ||
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| En revanche, il peut être légèrement étiré en s'aidant d'un décapeur thermique. | ||
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| Comme pour un film ordinaire, il faut prévoir un chevauchement de quelques mm. | ||
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| Le dessus puis le dessous, en prenant garde à ne pas faire de plis. | ||
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| Il faut trouver la bonne température qui assouplit le film dans le faire fondre. | ||
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| Les trou sont évidés avec une aiguille chauffée au rouge. Ainsi, les bords restent bien collés. | ||
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| La cabine a été recouverte de la même façon. Bilan, 14 g après entoilage soit juste 1 g de pris. | ||
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Fixation des aimants
à la colle époxy, en respectant bien les pôles.
Le morceau de ruban adhésif permet de bien positionner
l'aimant avant séchage de la colle. |
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Collage ensuite dans
l'aile. Le morceau de scotch permet cette fois d'éviter
de tout coller ensemble, tout en calant l'aimant en profondeur. |
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Le film polyester tissé
choisi pour les ailes n'est pas thermocollant mais juste thermorétractable.
Il est donc nécessaire de recouvrir la cellule sur toutes
les zones de collage avec de l'Ecofix (ou Balsaloc) qu'on laisse
sécher puisqu'il s'activera au contact du fer chaud |
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Le film est d'abord collé
sur toute la cellule avant d'être tendu. Il est nécessaire
de remettre de l'Ecofix là où le film se chevauche. |
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Petit coup de papier
de verre fin sur l'Ecofix sec afin d'atténuer les raccords.
Ensuite, 3 couches de bouche-pores posées au pinceau pour
rendre le film imperméable. Léger ponçage
entre chaque couche. La dérive peut alors être collée,
bien perpandiculaire aux ailes. |
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L'autocollant Chocolat'In
est livré sur son papier transfert. Le bord d'attaque a
lui aussi été recouvert de vinyle. |
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Cellule terminée
et décorée. Il ne reste que la radio à glisser
à l'intérieur. |
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Les servos PTK 7341NG-D
sont immobilisés depuis l'intrados contre le coffrage avec
de la colle thermofusible, le palonnier bien centré par
rapport à l'ouverture. |
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Les petits guignols sont
fraisés dans une plaque époxy. Ils se collent dans
les élevons, dans les fentes prévues. Les commandes
en corde à piano sont verrouillées avec une rondelle
étoilée : c'est simple, léger, discret. |
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L'ouverture est refermée
par un morceau d'entoilage. |
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Les raccords en plastique
transparent montés sur les commandes d'élevons ne
sont pas livrés. A la place, il y a de toutes petites rondelles
étoilées qui se bloquent sur la corde à piano...
mais je les avais égarées ! Pour maintenir la cabine fermée, j'ai collé en-dessous un aimant plat. Dans le modèle, une baguette reçoit une petite plaque métallique collée à l'époxy. |
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Réglages |
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Les réglages doivent
être précis sur une petite machine comme la Chocolat'In.
Le plan indique des valeurs approuvées qu'il faut respecter
et que vous pourrez affiner après essais. |
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C'est sur les pentes voisines du
Mont Leinster en Irlande que cette Chocolat'In a été
baptisée... et qu'elle a volé par tous les vents
! |
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Montage rapide sur le
terrain puisqu'il n'y a que 2 servos à brancher sur le
récepteur. La clé d'aile se range dans le fuselage
pour ne pas l'oublier. Mais vu sa taille, la Chocolat'In peut
être transportée toute montée... |
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La marge de centrage
est très faible. Les premiers essais sont effectués
par vent calme afin de bien affiner les réglages. |
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La Chocolat'In se défend
très bien par petit temps. Elle est très fine et
parcourt du chemin pour trouver le coin où ça porte. |
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Quand ça souffle
fort, il vaut mieux être assisté pour le lancé
afin d'avoir les doigts sur les manches. Une pichenette suffit
mais il faut que ça parte bien à plat, sinon ce
sont des montagnes russes assurées, le temps de la stabiliser. |
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| L'inertie est très faible, les commandes répondent instantanément. | ||
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Boucles, tonneaux, renversements
trichés, virages serrés, passages dos, virgules...
Tout s'enchaîne très vite dans un petit volume. |
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Elle vole aussi sur le
dos, ce qui augmente la traînée et diminue la vitesse.
On arrive même à atterrir dans cette position sur
un sol herbu. |
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Cette Chocolat'In est vraiment un plaisir à construire, tout les morceaux sont découpés aux cotes justes. Une soirée pour assembler le fuselage, une autre pour les demi-ailes. Le ponçage est vite expédié. Pour la déco, à vous de voir, tout en restant léger pour ne pas dégrader les performances. Quant au vol, elle gratte honorablement, se remue beaucoup et accepte le petit temps comme le vent fort. Avec son prix plancher et sa taille lilliputienne, elle sera de toutes les sorties à la pente.
On aime
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On aime moins
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Contacter l'auteur : laurent@jivaro-models.org
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