|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
L’alarme... à l’œil ! Par Jean-Baptiste Gallez Maintenant, dans la plupart de nos modèles, il y a au moins deux accus pour la réception, et souvent diverses sortes de dispositifs électroniques qui gèrent la décharge simultanée ou successive de ces accus et assurent même une alimentation stabilisée pour le récepteur, indépendante de la demande en courant des servos. De ce côté-là, nous sommes tranquilles. A l’autre bout de la chaîne de commande, dans notre émetteur, il n’y a qu’une batterie, mais tous les Grautaplex sont munis d’une alarme sonore qui nous prévient quand la batterie commence à approcher de la fin. Mais, pas de panique, il nous reste alors largement une quinzaine de minutes d’émission, de quoi faire encore un tour de terrain et se poser à l’aise. Ce dimanche, mon camarade décolle tranquillement avec le Piper
camouflé, un kit Toni Clark de 2,78 m, dont je
vous avais présenté la construction il y a quelques
temps. Nous allons le récupérer et constater les dégâts. Juste de quoi allumer le barbecue prévu pour le soir ! Le BEA local prend l’enquête en main … Bref, on discute
autour de l’épave et d’une bière. Notre batterie était celle d’origine de la radio (+/-
5 ans) et avait toujours fonctionné parfaitement. Mais la semaine
précédente, l’émetteur a été
rangé allumé dans sa valise et la batterie a donc subi
une décharge très profonde, ce qu'elle semble ne
pas avoir apprécié. L’alarme est faite pour fonctionner avec une batterie en bon
état dont la courbe de décharge est connue et bien plus
lente. Comme dirait Monsieur de la Fontaine : « cette leçon vaut bien un avion » mais c’est un peu cher payé quand même, c’est pourquoi je me permets de la partager. Contact : jean-baptiste@jivaro-models.org |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|