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Stearman PT-17 Kaydet - AL3DConcept
Bienvenue dans la 3e dimension
Présentation : Laurent
Berlivet
On peut dire que le Stearman est populaire chez les modélistes
puisque de nombreux fabricants le proposent en kit plus ou moins avancé.
Celui qui nous intéresse aujourd’hui est cependant très
différent structurellement de tout ce qui existe puisqu’il
est entièrement fabriqué… par une imprimante 3D !
Pas le moindre bout de balsa, de fibre ou de mousse pour venir en renfort.
Le challenge est de faire voler une « maquette plastique »
à grande échelle.
Toujours est-il que l’avion est composé de matériaux
inhabituels chez les modélistes : fuselage et voilure bien sûr,
mais également les pare-brise translucides, les ressorts fonctionnels
du train amorti ou encore les pneus réalisés dans une matière
un peu plus souple, tout est imprimé ! Serait-ce une révolution
?
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A première vue, ce Stearman
n’a rien de révolutionnaire. Il est pourtant intégralement
assemblé avec des pièces imprimées en 3D. |
Caractéristiques
techniques |
Conception : 3D LabPrint
Fabricant : RC
Parts
Modèle : Stearman PT17 Kaydet
Prix TTC indicatif : 115 €
Caractéristiques
Envergure : 1220 mm
Longueur : 945 mm
Corde : 188 mm
Profil : Biconvexe dissymétrique
Surface : 44 dm²
Masse : 2250 g
Charge alaire : 50 g/dm² |
Equipements
Servos : 4x 9 à 16 g
Moteur : Turnigy 3542/6 1000 kV
Contrôleur : YEP 40A
Hélice : 11''x5.5'' APCe
Pack prop : Lipo 4S 3300 mAh
Radio : 4 voies |
Le Stearman
PT-17 Kaydet |
On ne présente
plus ce Stearman, construit à plus de 10 000 exemplaires dans
les années 30. Il a formé nombre de pilotes dans les
Forces Armées américaines et canadiennes. Après
guerre, il est devenu l’un des avions les plus populaires utilisés
comme appareil de sport ou pour l’épandage de produits
dans les champs. Il est acrobatique et vole aussi dans les meetings
avec des trompe-la-mort qui se promènent parfois sur ses ailes
en s’accrochant aux haubans. On peut en voir évoluer
plusieurs chaque année à la Pentecôte, lors du
grand rassemblement de La Ferté-Alais. |
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Cela fait une dizaine d’années qu’on parle d’impression
3D dans ces colonnes. Au départ, ce n’était que du
prototypage, ou quelques pièces réalisées pour une
petite diffusion.
Le procédé s’est démocratisé et maintenant
et il est fréquent de trouver des éléments imprimés
avec des matières différentes dans des kits de série.
Egalement, on connaît tous quelqu’un, particulier ou club,
qui est équipé d’une imprimante 3D filaire achetée
pour quelques centaines d’Euros.
Le concepteur de ce Stearman - 3D LabPrint - vend ses fichiers sur le
Net. Ils sont compatibles avec tous types d’imprimantes qui fonctionnent
par dépôt de fil. Pour ceux qui n’ont pas accès
à ce genre de machine ou pas le temps de passer des dizaines d’heures
à produire toutes les pièces, la société française
RC Parts propose le kit
à assembler, ainsi qu’une bonne dizaine d’autres modèles
intéressants et de très nombreux accessoires pratiques pour
maintenir et protéger l’électronique de nos modèles.
Ces kits sont fabriqués suivant la méthode du « thin
wall printing » qu’on peut traduire par « impression
de la peau » ou « de la surface ». Et en effet, c’est
très fin puisque l’épaisseur doit être voisine
de celle du filament sortant de la buse chauffante, soit environ 0,5 mm.
Pour les connaisseurs, les machines sont des Prusa I3 et le matériau
est du PLA (de chez ArianePlast) teinté dans la masse, ce qui permet
de se passer d’une finition en peinture ou en film thermorétractable.
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Non, non, ce kit n'est pas passé
à travers les pales d'un hachoir géant... Les dimensions
des tronçons sont imposées par la capacité de
la machine. |
La machine travaille sur une surface assez réduite, d’environ
20 x 20 cm, et sur une hauteur à peu près semblable. Le
fil liquéfié est déposé sur un plateau, traçant
la pièce sur la tranche comme si on la dessinait au crayon avec
une encre très épaisse. Petit à petit, après
chaque passage, le tracé est plus haut de quelques dixièmes
jusqu'à obtenir le ou les tronçons souhaités. On
comprend que plus l’avion est grand, plus il faudra de tronçons
à assembler.
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Le carton d'emballage et les chips en polystyrène
protègent bien tous les morceaux. |
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La colle utilisée : cyano à viscosité
moyenne, activateur en spray, ou mieux, en bombe. |
Le Stearman arrive dans un carton d’emballage cubique sans fioritures.
On découvre à l’intérieur les tronçons
du fuselage noyés dans des chips en polystyrène ainsi que
de nombreuses enveloppes molletonnées et des sachets plastique
contenant les pièces bien identifiées pour assembler les
ailes, le faux moteur en étoile ou encore le train d’atterrissage
amorti. Une notice de 21 pages décrit grossièrement le montage.
Elle renvoie vers de nombreux liens qui donnent plus de détails,
notamment plusieurs vidéos très utiles, même si on
aurait aimé être un peu plus épaulé pour certaines
étapes.
Le fuselage est composé de tronçons dont l’épaisseur
et la souplesse laissent dubitatif. Quelques raidisseurs donnent cependant
un peu de rigidité, et les nombreux détrompeurs rassurent
lorsqu’on empile les morceaux. En quelques secondes, on voit à
quoi ressemble l’objet.
Les pièces pour les ailes sont emballées dans des enveloppes
clairement nommées, histoire d’éviter toute confusion.
Les tronçons les plus hauts mesurent 15,50 cm. Les tronçons
d’ailes sont beaucoup plus rigides que ceux du fuselage, et pour
cause, de nombreux longerons et montants joignent l’intrados et
l’extrados et rigidifient en torsion et en flexion. Le bord de fuite
est très fin, de l’ordre du millimètre.
Dans l’ensemble c’est très propre mais on peut noter
quelques défauts de surface, striures, ou léger manque de
matière par endroits comme à l’étambot ou aux
saumons.
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La couleur argent du faux moteur
7 cylindres en étoile est du plus bel effet. |
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Même les pare-brise sont
imprimés dans une matière translucide. On aurait préféré
plus de transparence. |
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Les train d'atterrissage des
jambes est lui aussi imprimé et réellement fonctionne. |
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Les pneus du plus bel effet
sont confectionnés dans un matériaux plus souple. |
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Chaque tronçon est imprimé
avec un filament de PLA chauffé à plus de 200° et
coulé par une buse de diamètre 0,4 mm. |
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Le modèle est fabriqué
suivant la méthode du « thin wall printing » qu'on
peut interpréter par « impression de la face extérieure
» (ou encore « la peau »). |
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Les morceaux s'emboîtent
sans difficulté comme on peut le voir avec ce montage à
blanc. |
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Les ailes comportent plusieurs
longerons et raidisseurs intégrés ainsi qu’un
conduit pour les fils des servos. |
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L'équipement conseillé
est du matériel chinois. J'ai suivi les conseils pour le plus
gros. |
Pour faire entrer les servos dans les puits situés sous l’aile
basse, il faut couper partiellement les pattes de fixation. J’ai
collé 2 petits supports en bois de chaque côté pour
y visser une plaque de retenue.
J’ai choisi le plus gros des moteurs conseillés : un brushless
Turnigy 3542/6 1000 kV accompagné d’un contrôleur YEP
40A. Le moteur est inséré dans le faux moteur et l’ensemble
est fixé sur le fuselage au moyen de 7 vis de 3 mm. Côté
batterie, j’ai mis un peu plus qu’indiqué, c’est-à-dire
un pack 4S 3300 mAh pour essayer d’obtenir le centrage. J’ai
dû ajouter une plaque de plomb juste derrière le faux moteur
pour l’obtenir. Tout est bien ventilé, l’air entrant
à l’avant s’évacuant par les postes de pilotage.
La colle conseillée pour tous les assemblages est de la cyano,
accompagnée d’accélérateur en bombe de préférence.
Elle semble faire fondre légèrement le matériau,
on obtient presque une soudure du plastique.
Avant toute chose, procurez-vous les accessoires indispensables qui ne
sont pas livrés, tels les écrous prisonniers M3 et M4 et
leurs vis servant à fixer l'aile ou le faux moteur, les charnières
en toile ainsi que les commandes en corde à piano de 1 et 1,5 mm.
Bien repérer l’emplacement de chacun des tronçons.
Si on les observe avec soin, on constate qu’à l’intérieur
une petite plaque horizontale comporte un certain nombre de trous : 1
pour l’emplanture, 2 pour le tronçon suivant et ainsi de
suite.
Le collage tranche contre tranche semble inquiétant tellement la
surface en contact est faible. On encolle une partie, on la plaque en
l’alignant parfaitement avec une autre et on vaporise un peu d’accélérateur.
Attention à ne pas respirer les vapeurs. En quelques instants,
on passe à la suivante et l’aile apparaît rigide et
rectiligne alors qu’elle a été complètement
montée « en l’air ».
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Le raccord des ailerons se fait
au niveau du guignol. L'épaisseur est double. |
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On voit que l'intérieur des ailes comporte de nombreux caissons très ajourés. Les morceaux sont très rigides. Ils sont tous différents. |
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Il n'y a pas de détrompeurs mais dès repères sont visibles à chaque extrémité des tronçons, portant un nombre de trous croissants. |
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L'aile est percée pour les haubans et pour les charnières, tout comme l'aileron. |
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Les charnières en toile doivent être recoupées au bon format. |
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Les charnières recouvertes
de cyano sont glissées dans la partie fixe et dans la gouverne.
L'excédent est tout de suite essuyé puis l'activateur
est vaporisé. |
L’aile basse diffère un peu de l’aile haute puisqu’elle
comporte des ailerons. Les fentes pour y glisser les charnières
en toile sont déjà présentes dans le faux bord de
fuite ainsi que dans les ailerons. Le guignol se situe au niveau d’un
raccord de tronçons, il est donc composé de 2 épaisseurs
pour une bonne solidité. Il reste à coller les charnières
en toile, toujours avec de la cyano.
Côté intrados, les puits de servos sont moulés, tout
comme le conduit interne qui permettra de passer la rallonge sans difficulté
jusqu’à l’emplanture. A noter, le petit relief qui
permet de protéger le palonnier. Le concepteur a vraiment pensé
à tout.
Les supports de haubans seront collés après assemblage du
fuselage.
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On imagine qu'il faut un certain
temps pour fabriquer toutes ces pièces, montées couche
après couche jusqu'à faire environ 12 cm de haut. En
revanche, côté prix de revient, difficile de faire mieux
car la notice indique 18$ de matériau ! |
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Le faux moteur est maintenu
par 7 vis. Il faut coller les écrous noyés à
l'intérieur du capot. |
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Les cylindres doivent être
ébarbés au niveau des sorties d'échappement pour
bien plaquer sur le pot circulaire. |
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Collage des faux cylindres sur
la partie centrale. |
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L'échappement est collé
sur chaque cylindre. Le poids est élevé - 114 g -mais
il participe au centrage de l'appareil. |
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Le moteur brushless est intégré
dans le faux moteur. |
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Noter le collier nylon ajouté
pour éviter aux fils d’alimentation de frotter contre
la cage tournante. |
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Les vis se glissent entre les
cylindres. |
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Les collages chant contre chant
se font à la cyano accompagnée de son activateur en
bombe. Attention aux vapeurs. |
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Des détrompeurs permettent
de bien aligner les morceaux. Bien s’assurer que les tubes qui
longent les flancs ne sont pas obstrués, les cordes à
piano des commandes doivent y coulisser sans point dur. |
Ce dernier est composé de 8 tronçons. Les deux derniers
ne doivent pas être collés avec le reste tant que les servos
de profondeur et direction ne sont pas installés car l’accès
sera très limité après assemblage. La jonction tranche
contre tranche est encore plus faible que sur les ailes mais on est rassuré
quand la colle a séché, c’est solide même si
la peau reste souple.
Il faut bien s’assurer que les petits tubes sur les côtés
ne sont pas obstrués : les cordes à piano pour les commandes
seront glissées dedans et devront coulisser sans points durs.
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La trappe d'accès nécessite
un ressort pour fermer le verrou. Il provient d'un stylo.
Les plots de centrage n'étaient pas tous bien formés.
Un coup de ponçage remet tout en ordre. |
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Attention à ne pas mettre
de colle sur la gâchette qui doit pouvoir coulisser librement. |
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La trappe est située
sur le fuselage. L'accu sera installé juste en-dessous. |
Un des tronçons comporte 2 puits pour des mini-servos de 11 g
ou guère plus, c’est suffisant car l’avion n’est
pas destiné à une voltige violente.
A l’arrière, il faut bien dégager le passage en supprimant
quelques résidus de matériau. La première idée
qui vient, c’est d’utiliser un scalpel. Erreur car une coupe
nette peut fragiliser le matériau en créant des points de
rupture. La bonne méthode, c’est de prendre un fer à
souder avec une panne à trancher. Ainsi, le matériau fondu
forme une cicatrice solide. Les postes de pilotage devront être
ouverts de la même façon, en cautérisant les bords
avec le plastique fondu.
Les parties fixes de la profondeur se collent de part et d’autre
du fuselage sans la moindre clé. En appuyant bien durant le séchage,
ils trouvent leur place en étant bien alignés naturellement.
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Le volet de direction est en
2 morceaux. Le passage du stab est partiellement découpé,
il reste à le séparer. |
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Le raccord de la partie basse
se fait au niveau du guignol. |
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Collage des tronçons
de stabilisateur. Les volets seront raccordés plus tard. |
Les deux demi-volets de profondeur sont réunis puis montés
sur la partie fixe du stab avec des charnières en toile. Le volet
de direction est en 3 parties. Au niveau du guignol, on retrouve ici aussi
deux épaisseurs ainsi qu’un anneau qui entre dans le fuselage.
Il recevra le support de la roulette de queue directrice qui sera solidarisé
à la gouverne.
A l’avant du fuselage, les faux cylindres et le carter semblent
très lourds. L’ensemble pèse 115 g. Comme le nez de
l’avion est court, ça n’est pas gênant, ça
évitera de rajouter trop de lest. Bien s’assurer que les
sorties d’échappement sont collées parallèlement
au pot circulaire qui viendra s’ajouter par la suite. La couleur
argentée est du plus bel effet.
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Sous le fuselage, une partie
servant de support durant l'impression doit être détachée
afin de laisser passer l'aile. |
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L'aile basse possède
plusieurs ergots au bord d'attaque servant à la plaquer contre
le fuselage. |
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Tout est prévu, y compris
le passage des charnières. |
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Les charnières à
utiliser sont en toile. Il faut retailler celles du commerce. |
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En collant le volet de direction,
bien prendre garde que le guignol se trouve en face de l'échancrure
du fuselage. |
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Les diverses découpes
comme ici pour dégager les postes de pilotage se font au fer
à souder, afin de cautériser les contours. |
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Les servos installés
sont un peu plus petit que les emplacements existants dans le fuselage.
Des platines en contre-plaqué ont été ajoutés. |
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Les servos sont vissés
sur les platines et intégrés dans le fuselage avant
sa fermeture. |
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Les principaux éléments assemblés.
Il suffit d'une ou deux soirées. |
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Les découpes ne doivent
pas être effectuées au cutter mais avec la pane coupant
d'un fer à souder, afin de cautériser les bords. |
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Installation de l'aile basse
sur le fuselage pour favoriser le montage des stabs horizontaux en
vérifiant l'équerrage. |
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A ce moment, le volet de stab en deux parties
peut être ajouté. |
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Installation d'un servo d'aileron
placé dans l'aile basse. Comme rien n'est prévu, on
installe une trappe de contre-plaqué fin qui plaque le servo.
Dans l’aile basse, les puits sont présents pour
les servos, tout comme la gaine de passage du câble et même
un petit dôme qui protège le palonnier. |
Train
d'atterrissage amorti |
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Les différents morceaux
qui composent le train d'atterrissage. 2 jeux de jantes sont livrées,
au choix. |
Les pantalons de roues sont en 2 parties. A l’intérieur,
on glisse la jambe de train et son ressort servant d’amortisseur
lui aussi réalisé par impression 3D. Le système fonctionne
vraiment, sur une course d’environ 15 mm.
Deux sortes de jantes sont livrées. J’ai utilisé celles
qui comportent de gros rayons plutôt que celles possédant
des roulements à billes, fonctionnels et toujours réalisés
avec le même matériau. Les pneus quadrillés sont très
épais et un peu souples car fabriqués dans une matière
différente.
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3 écrous noyés
se glissent dans le fuselage, au niveau des trois vis qui plaquent
le train d'atterrissage. |
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Collage à l'époxy,
faut plus que ça bouge. |
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Les conduits doivent être
préparer pour que les jambes y glisse librement. Tout est ébavuré. |
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Collage des pantalons de train. Bien plaquer les 2 morceaux durant le séchage. |
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Les jambes de train sont composées de 2 épaisseurs. Un petit coup de ponçage est nécessaire pour qu'elles coulissent librement dans les pantalons. |
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Les compas sont mis en place et verrouillés par les biellettes |
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Les biellettes sont enfoncée à force, en s'aidant d'une pince à long bec. |
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Même chose pour la partie basse avec l'autre morceau du compas. |
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Un peu d'ajustage peut être nécessaire pour que tout s'articule sans point dur. |
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La jambe de train doit pouvoir
coulisser librement. |
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Le ressort imprimé se
glisse dans la jambe de train. C'est surprenant mais ça fonctionne
très bien. |
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Une pointe de colle à
l'extrémité, un léger congé côté
sortie. Surtout, ne pas mettre trop de colle pour conserver l'élasticité
du ressort. |
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Les jantes sont glissées
en force dans les jantes. Ca tient sans avoir à ajouter de
colle grâce à l'élasticité du matériau. |
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Les axes de roues sont confectionnés
avec une vis métal de 3 mm. Ne pas oublier de mettre des rondelles
de chaque côté. |
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Un écrou freiné
est serré modérément afin que la roue tourne
sans forcer. |
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Le train d'atterrissage est
amorti par des ressorts également imprimés, et réellement
fonctionnels ! |
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La roulette de queue comporte
elle aussi un pneu souple. |
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L'axe de roue est issu d'un
jonc de carbone de 2 mm. |
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Le support de la roulette passe
à travers un trou sous le fuselage. Il doit pouvoir tourner
librement. |
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Bien aligner la roulette avec
le volet de direction. Une goutte de cyano solidarise l'ensemble. |
L’aile basse est retenue à l’arrière par un
décrochement du fuselage, pas très propre mais cependant
efficace, et à l’avant par le train d’atterrissage
qui doit être plaqué avec 3 vis de 4 mm.
Bien repérer ensuite les supports de haubans qui trouvent leur
place en les enfonçant « en force » dans les puits
répartis sur l’aile et sur les flancs du fuselage. Les haubans
sont identifiés pour s’y retrouver plus facilement. Il faut
confectionner 16 goupilles pour les maintenir en place. La notice indique
d’utiliser des trombones. J’ai préféré
prendre de la corde à piano pliée à la pince en forme
de R. Quand tous les haubans sont en place, on peut poser l’aile
haute par-dessus et la raccorder aux haubans avec les goupilles. Même
si le modèle reste démontable, c’est une opération
fastidieuse à exécuter à l’atelier plutôt
qu’au terrain puisqu’il y a 16 points d’attache.
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Les trous de chaque côté
des haubans doivent être repercés, et les fentes éventuellement
ébavurées. |
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Les supports de haubans se calent
dans des fentes prévues dans les ailes et les flancs. Attention
à bien respecter l’ordre de montage. |
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Les mats sont fixés par
des goupilles en corde à piano. Il faut en confectionner 16
identiques. La mise en croix prend un certain temps… |
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Attention à bien repérer
les haubans. Ils sont marqués pour l'avant (front) et l'arrière
(back). |
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Les haubans sont fixés
sur l'aile basse puis l'aile haute est posée par dessus. |
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Des goupilles en forme de R
ont été confectionnées avec de la corde à
piano de 1 mm. Patience, il en faut 16... |
Les tableaux de bord sont livrés. Celui de l’avant est
un peu large et doit être recoupé sur les côtés.
Les deux sièges viennent alors habiller les postes de pilotage.
Les pare-brise également imprimés ne sont pas très
larges, surtout à l’arrière où il faut quasiment
l’aligner contre le siège avant si on ne veut pas qu’il
soit partiellement dans le vide.
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Les tableaux de bord imprimés
doivent légèrement retouché. Un voile de peinture
les rends plus réalistes. On peut fignoler davantage. |
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Les sièges peuvent alors
être collés en place, ainsi que les sautes-vent un peu
translucides. |
Un fichier avec les marquages est disponible au format PDF auprès
du fabricant. Il est destiné à être imprimé
sur une feuille de papier autocollant. J’ai préféré
le retracer et découper les marquages dans du vinyle avec une machine
Silhouette SD. L’adhérence n’est pas parfaite sur le
PLA finement strié. Je l’ai donc assoupli au sèche-cheveux
pour mieux le lisser avec un chiffon. Il faut vraiment chauffer à
peine pour ne pas ramollir la cellule. Une fois mis en place, j’ai
recouvert tous les contours d’un filet de vitrificateur à
parquet (de marque Sols Plus ou équivalent) posé au pinceau.
Cette couche permet d’éviter que le film ne se décolle.
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Un fichier PDF est téléchargeable
pour imprimer le décor sur papier autocollant. Le fichier a
été repris ici pour le découper dans du vinyle,
plus pérenne. |
Le centrage indiqué se trouve juste au bord d’attaque de
l’aile basse. C’est difficile de faire tenir l’avion
en équilibre puisque les doigts sont… dans le vide à
cet endroit ! Je l’ai reporté sur l’aile haute ce qui
donne 82 mm du bord d’attaque. J’ai dû ajouter une plaque
de plomb de 50 g pour obtenir le centrage malgré une batterie Lipo
3S 3300 mAh. Elle est placée entre la cloison frontale et le faux
moteur, tenue par 3 des 7 vis de fixation, de façon à donner
également un peu d’anticouple et de piqueur.
Réglages
Centrage : 82 mm du bord d’attaque de l’aile haute
Débattements :
Tangage : + 20 mm, - 20 mm
Roulis : + 20 mm, - 25 mm
Lacet : 30 mm de chaque côté
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Les baquets sont aménagés
avec des sièges et des tableaux de bord. Dommage qu’un
pilote ne soit pas livré.
Le faux moteur fait tout le charme de cet avion. Il est lourd, c’est
mieux pour obtenir le centrage. |
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Cette jolie petite maquette
est à l’échelle 1/8.
Dans le compartiment situé juste derrière le moteur,
le pack 4S 3300 mAh est placé le plus en avant possible. |
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Le train est suspendu. Même
les pneus sont imprimés dans une matière plus souple
que le reste de l'appareil. |
Rendez-vous sur le terrain lors d’une journée hivernale.
Vu le temps nécessaire pour monter les ailes, cette étape
a été faite auparavant, bien au chaud à la maison
; ceci impose d’avoir déjà un gros véhicule
avec un coffre spacieux.
Le roulage est facile sur la piste en dur avec la roulette de queue solidaire
du volet de direction. C’est nettement plus chaotique sur l’herbe
qui n’est pas très rase mais les grosses roues le permettent.
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La puissance disponible est
amplement suffisante. L’avion décolle de lui-même
en une quinzaine de mètres. |
Montée en puissance progressive, le Stearman prend de la vitesse
et s’envole de lui-même en une quinzaine de mètres.
Quelques crans de trim à piquer sont nécessaires pour diminuer
l’angle de montée. Il n’est pas utile de voler plein
pot, la puissance disponible est plus que suffisante. Les débattements
adoptés sont satisfaisants pour voler réaliste. On sent
quand même une certaine inertie sur tous les axes. Pour le virage,
il ne faut pas hésiter à accompagner à la dérive,
c’est plus joli.
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L’appareil arrive dans
sa classique livrée jaune et bleu ciel mais peut être
commandé en bleu France et blanc ou même avec des couleurs
personnalisées. |
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Avec sa charge alaire modérée,
le Stearman fait preuve d’un bon caractère. |
Quelle allure, ce biplan. Dommage que je n’aie pas pu trouver
un pilote à l’échelle pour équiper le poste
de pilotage.
Les passages s’enchaînent puis on simule une coupure moteur
pour essayer le vol plané et tenter d’atteindre la piste.
Il ne faut pas hésiter à plonger un peu pour une meilleure
finesse car on sent bien la trainée des haubans et du faux moteur.
Le Stearman s’en sort pas mal, je m’attendais à pire.
Quelques rebonds à l’atterrissage suivis d’une remise
des watts. Il est préférable d’effectuer une approche
avec un filet de moteur, en rajoutant quelques tours juste au moment d’arrondir.
Ensuite, grimpée à hauteur suffisante pour amener doucement
le manche de profondeur à cabrer tout en réduisant la puissance.
L’avion finit par décrocher et part sur une aile pour engager
une large spirale. On rend la main pour recoller les filets d’air
et ça repart. Nouvel essai mais en braquant la dérive. Là,
c’est une belle vrille qui tourne assez vite et qui consomme beaucoup
d’altitude. On est prévenu pour le dernier virage vent arrière
: il faudra conserver de la vitesse.
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Avec ce genre d’appareil,
les figures sont douces et de grande ampleur. |
Nouvelle grimpée pour effectuer quelques figures. Les boucles
peuvent être d’assez grand diamètre en mettant toute
la puissance. On sent bien le freinage de l’hélice au ralenti
pendant la descente.
Les tonneaux tournent en 2 secondes et demandent à être travaillés
pendant la figure.
Le vol dos tient en poussant assez fortement sur le manche.
La glissade est jolie et facile à doser.
Dans l’ensemble, il faut tourner des figures bien amples, c’est
plus joli, et ne pas voler à pleine puissance, ce n’est pas
du tout réaliste et l’avion vole trop vite.
Je n’ai pas osé les figures violentes façon déclenchés
par crainte de voir la cellule se démantibuler, sans doute à
tort…
Le vol dure environ 8 minutes, en gardant un peu de marge pour effectuer
éventuellement un nouveau circuit d’approche.
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La couleur est celle du filament,
donc pas besoin de peindre ce modèle. Les cocardes sont rajoutées,
en vinyle autocollant. |
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Sous certains angles, la lumière
passe à travers la voilure. On n’imagine pas que l’avion
puisse être intégralement en plastique. |
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Sur la voilure comme sur le
fuselage, la surface reproduit plutôt bien les détails
de l'avion grandeur. |
A la suite d’un vol, lors d’un atterrissage un peu de travers
par temps frais (6 ou 7°), une jambe du train a cassé. L’aile
basse à droite a touché le sol et par effet de fouet, les
deux ailes se sont décollées à mi-envergure du côté
gauche. Ca n’a pourtant pas tapé fort, et j’avais bien
assuré les collages.
Lors des rencontres Inter-Ex, on a déjà vu des modèles
éclater comme du verre après un rebond à l’atterrissage.
J’ai pu recoller les ailes bout à bout ainsi que quelques
petits éclats ramassés. Il aurait été difficile
de réparer le train solidement sans bloquer l’amortisseur.
J’ai donc contacté le fabricant qui m’a envoyé
très vite la pièce de rechange. Bravo pour la réactivité.
Quelques jours après, le Stearman était prêt pour
une nouvelle séance de vol. Heureusement qu’il existe cette
option de pouvoir acheter des pièces détachées car
il n’y a pas d’autre alternative pour réparer. Quel
que soit le matériau, on ne retrouvera pas l’aspect, la teinte
et la texture du PLA.
Si c’était à refaire, j’inclurais un jonc de
carbone de 1,5 ou 2 mm sur toute l’envergure, pour les deux ailes.
La notice indique d’ailleurs qu’un constructeur averti peut
renforcer la cellule à sa guise. Le mieux serait d’inclure
le conduit à l’impression, de la même façon
que les tubes qui guident les commandes de profondeur et direction.
Le challenge est réussi : la cellule est intégralement
imprimée en 3D, sans le moindre renfort extérieur. Le temps
de montage est assez rapide, les plus gros morceaux sont assemblés
en une soirée. L’état de surface est correct et à
part les quelques autocollants à rajouter, l’étape
de la finition par entoilage ou peinture n’existe pas.
Question poids, celui de notre biplan est bien en dessous de la masse
maximale indiquée par le fabricant : 2,250 kg au lieu de 2,800
kg maxi. C’est quand même plus élevé qu’un
modèle de la même taille construit en bois ou en mousse.
Si c’était à refaire, j’aimerais ajouter quelques
raidisseurs sous forme de jonc carbone ou de fibre de verre glissés
dans des fourreaux afin d’éviter une cassure nette lors d’un
choc. L’impression 3D n’en est qu’à ses débuts,
on peut s’attendre à de belles surprises pour l’avenir.
On
aime
- Conception
et fabrication atypique
- Fil
teinté dans la masse : pas de finition supplémentaire
- Allure
maquette
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On
aime moins
- Défauts
de surface
- Poids
un peu élevé
- Assez
fragile et difficilement réparable
- Manque
un pilote dans l'habitacle
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Contact
: laurent@jivaro-models.org
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