Lavochkin-15 : Plan à télécharger
Le plan comporte de nombreux fichiers au format 'dxf', lisibles
par tous les logiciels CAD. Pour info, l'original a été
tracé sur Turbocad 2D. Une fois l'archive 'zip' décompressée,
vous trouverez une grande vue de côté de l'avion.
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Vous trouverez également un dessin du modèle à
l'échelle 1/10e qui pourra être imprimé sur une
seule feuille A4, plus maniable. Cette feuille comporte également
les ailes et les empennages, ainsi que le plancher de fuselage. Inutile
de les imprimer à l'échelle 1 car ces pièces
se tracent directement sur la matière. Utilisez la feuille
pour prendre vos mesures, ou cherchez celles-ci directement dans le
fichier, via un logiciel de CAD. A ce propos, l'avion se monte 'en
l'air', sans utiliser de tirage papier du plan. La vue du fuselage
à l'échelle 1 est donc fournie en guise de référence,
pour les nostalgiques de l'épinglage sur chantier. Ceux-là
pourront imprimer cette vue sur une mosaïque de 2 x 5 feuilles
A4.
Notez que l'emplacement de la queue sur le plan est celui de mon avion
; libre à vous de corriger.
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Vous pouvez vous inspirer du 3-vues au format jpeg trouvé
sur l'excellent site internet russe www.airwar.ru |
Le profil des deux uniques nervures est fourni dans
un fichier séparé. Si mon simili-Eppler-205 pifométrique
vous dérange, vous pouvez bien sûr opter pour un profil
plus scientifique. Toutefois, suite au mode de construction très
basique, le résultat final sera forcément 'triangulaire'.
Inutile de trop s'échiner, donc... Enfin, les différents
fichiers des couples de fuselage vous permettront de monter cet avion
étonnant sans trop de prise de tête et avec un minimum
d'outils, les principaux étant un bon cutter, de nombreuses
lames neuves et une scie à chantourner. Un modèle à
main suffit largement pour découper les quelques couples en
bois.
Construction pas à pas
1. Aile
Nous commençons la construction par l'aile, laquelle ne nécessite
pas de plan ! Tracez simplement sa forme sur une grande plaque de dépron
de 5 ou 6 mm qui constitue l'intrados (le dessous). Préparez
une seconde plaque en dépron de 3 mm de la même forme,
mais 2 cm plus grande au bord de fuite. Utilisez une nouvelle lame dès
que vous sentez que l'ancienne 'accroche' le dépron.
Collez sur la plaque d'intrados les bords d'attaque (ici en balsa fraisé)
et les longerons (en balsa de 6 à 8 mm, selon sa résistance).
La jonction de ceux-ci est renforcée par un petit triangle de
balsa au milieu et une doublure en contre-plaqué aviation de
0,8 mm collée sur chaque face. Ajoutez les quatre nervures d'ailes
en balsa 6 mm. Notez que les plus petites sont coupées de biais
pour introduire quelques degrés d'incidence négative.
Contrairement à l'original qui a un fort dièdre inverse,
l'aile du modèle est quasi plate en-dessous. Le dièdre
provient surtout de l'amincissement du profil, l'illusion d'optique
due à la flèche fait le reste. Vous pouvez augmenter un
peu ce dièdre inverse en jouant sur le collage des longerons,
mais restez dans les limites de flexibilité du dépron.
Collez maintenant des chutes de dépron 3 mm
le long du bord d'attaque. De cette manière il ne reste que 3
mm de bois visible. Vous pouvez maintenant coller l'extrados sur le
tout à l'aide de colle UHU Por. Du fait des formes non développables,
cette opération est un peu délicate mais finalement le
dépron se plie à vos exigences. Bouchez les fentes au
bord d'attaque à l'aide d'enduit léger 'Knauf' ou 'Polyfilla'.
La tension du dépron 3 mm s'oppose à celle du dépron
5 mm et automatiquement le profil se 'symétrise'. L'incidence
négative aux saumons diminue aussi un peu. C’est elle qui
donne à ce modèle son bon caractère ‘indécrochable’.
Découpez l'excédent de dépron 3 mm. En coupant
de biais, vous pouvez amincir un peu le bord de fuite qui est maintenant
'kolossal'.
Découpez les ailerons, entre les nervures. Sur l'aile la découpe
reçoit des bouts de balsa pour boucher les trous, tandis que
les ailerons sont munis d'un bord d'attaque fraisé, comme l'aile,
mais retourné de façon à avoir l'arrondi vers le
bas. Les ailerons dépassent un peu en arrière de l'aile,
ce qui n'est pas 'maquette'. Vous pouvez rectifier si ça ne vous
plaît pas... Il reste à coller et tailler des blocs de
balsa pour représenter les saumons. Enfin, les cloisons d'ailes
en balsa de 2,5 mm se collent simplement sur le dessus, au niveau des
nervures. A ce stade, l'aile est quasi terminée. La partie centrale
sera ajustée au fuselage par après mais vous pouvez déjà
prévoir l'installation radio. J'ai utilisé un servo de
9 g par aileron, en prise directe et collé contre la nervure.
Mes ailerons sont articulés par des charnières textiles
imprégnées de cyano fluide. Attention à ne pas
couler sur le dépron car celui-ci fond rapidement !
2. Fuselage
Si l'aile se construit très vite, le fuselage demande un peu
plus de travail. Découpez les couples en commençant par
le couple principal (MC) et F4 en contre-plaqué léger
(caisse de clémentines !).
Le tracé peut être imprimé sur
le bois grâce à une astuce simple : sortez le dessin de
la pièce à l'imprimante laser (ou photocopiez-le) puis
positionnez la feuille sur le bois à l'aide de deux punaises.
Repassez le tout au fer très chaud (sans vapeur !) en appuyant
fortement. L'encre se transfère au bois. Pour les pièces
en dépron, il faut imprimer sur du papier épais, puis
découper au cutter fin et utiliser le patron pour tracer au stylo
à bille sur la mousse. C'est une corvée facile, mais fastidieuse.
Découpez le longeron ventral dans une planche de balsa 8 mm.
Vous pouvez aussi tenter de plier une baguette, mais c'est plus délicat.
Taillez le long 'plancher' dans du dépron de 6 mm. Vous pouvez
maintenant enfiler les couples sur celui-ci. Les couples de l'avant
s'enfileront plus tard, directement sur la veine d'air.
A ce stade, vous pouvez équiper la turbine et son contrôleur.
Contrôlez bien son fonctionnement et son équilibrage au
banc car elle ne sera plus accessible. Si cette option vous rebute,
vous pouvez fabriquer un système de démontage du fuselage
en deux parties. Quand j’ai dû remplacer la turbine il a
fallu couper proprement le fuselage en deux pour le recoller par après.
Finalement, c’était plus simple que je n’avais craint.
Le tube de la veine d'air est fait de papier à
dessin 'bristol' roulé et collé au scotch. Comme je n'avais
que des feuilles A4, j'ai dû joindre des tronçons légèrement
coniques l'un dans l'autre, ce qui n'est pas évident. La partie
avant en forme de cône est faite de carton un peu plus rigide
et brillant (le dos d'un calendrier dans mon cas). Ne vous inquiétez
pas s'il y a un petit 'jour' ci et là entre le tube et les couples.
Par contre, évitez au maximum les plis car le tube n'est rigide
que s'il est lisse. Malgré tous vos efforts, des plis sont quasi
inévitables là où les trois fils du moteur entrent
dans le tube. Renforcez donc cette partie au scotch 'Crystal'. Le même
ruban adhésif permet d'obtenir une bonne étanchéité
de la veine d'air.
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Collez maintenant le tube aux couples à l'aide
de colle polyuréthane. Celle-ci a la particularité de
gonfler en séchant et donc de remplir tous les interstices. Ce
n'est pas très beau, mais fort efficace. Pour augmenter le gonflement
de cette colle, mélangez vigoureusement une goutte d'eau à
l'équivalent d'une cuiller à soupe de colle. Ce mélange
triple de volume en une demi-heure et devient très dur. Les anneaux
ainsi formés rigidifient considérablement la construction.
Le couple avant (F2) se glisse sur le tube, à l'extrémité
de la quille. Il est maintenu à F3 par un plancher déporté
en hauteur. La prise d'air F1 est faite de deux anneaux de balsa 10
mm poncés en forme. Elle ne tient à rien d'autre que le
tube, alors que le fin couple arrière en contre-plaqué
léger (F10) bénéficie d'une extension du plancher
en dépron à tailler et coller sur place.
Normalement, vous êtes maintenant l'heureux propriétaire
d'un grand machin qui ressemble à un canon-laser impérial...
Cette arme de science-fiction devrait peser ±400 g (turbine,
moteur et contrôleur inclus).
Comme mon tube présentait des plis juste devant la turbine, j'ai
renforcé cette zone à l'aide de lattes en balsa collées
sur le carton entre les deux couples. Ceci évite l'écrasement
du tube sous l'effet de la dépression interne créée
par l'accélération de l'air. Quelques bouts de balsa constituent
l'assise de l'aile, là où les vis de fixation vont mordre.
Un triangle de balsa renforce la quille devant le couple en bois au
bord d'attaque de l'aile : c'est ici que viendra la fixation du crochet
de catapultage.
3. Empennages
Le stabilo est une construction hybride de dépron avec un bord
d'attaque, de fuite et des saumons en balsa 6 mm. Comme l'aile, ces
pièces se dessinent directement sur la matière. Les parties
mobiles sont faites de deux longueurs de balsa et dépron. Le
balsa est arrondi de façon à pouvoir débattre plus
facilement. L'articulation est semblable à celle des ailerons.
La partie centrale du stab est coffrée en balsa de 1,5 mm. Les
fibres sont dans la longueur en-dessous et dans la largeur au-dessus.
Le stab complet se colle sur le plancher, contre le dernier couple en
dépron.
L'énorme dérive bénéficie d'une construction
encore plus simple puisqu'il s'agit d'une unique pièce de dépron
épais munie d'un bord d'attaque et d'un sommet en balsa de 6
mm. Deux lattes de balsa 1,5 mm sont collées de part et d'autre
au milieu pour rigidifier l'ensemble et simuler une partie mobile. Ces
pièces dépassent ce qui impose un camouflage lors de la
peinture. Vous pouvez bien sûr opter pour une construction moins
légère, mais plus esthétique. Si vous voulez absolument
munir votre La-15 d'une commande de lacet, une solution similaire à
celle du stab devrait convenir parfaitement.
La commande de profondeur reçoit un servo de 16 g en prise sur
une tige en plastique coulissant dans une gaine. Celle-ci se dédouble
au milieu du fuselage pour attaquer chaque volet séparément.
La gaine est maintenue par des chutes de dépron pour éviter
le flambage. Pour plus de facilité j'ai posé ces commandes
pendant le coffrage du fuselage.
4. Coffrage
Le coffrage en dépron 3 mm est simple, même si certains
galbes sont récalcitrants. Repérez bien le sens des fibres
du dépron : celui-ci plie plus facilement dans un sens que dans
l'autre. Vous pouvez rouler un tube ou une tige ronde sur le dépron
en appuyant fortement, comme pour aplatir une pizza au rouleau à
pâtisserie. La matière se courbe alors toute seule. Chez
nous, on dit qu'elle 'crolle' ;o)
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Il n'est pas possible de coffrer toute la circonférence
d'une seule pièce. J'ai travaillé en plusieurs secteurs
délimités par des renforts en dépron 6 mm collés
dans la longueur, entre les couples. Le coffrage se termine au milieu
de ces renforts et porte donc sur 3 mm de chaque côté.
L'usage d'une colle de contact est obligatoire. La UHU Por est la mieux
adaptée à ce travail. Déposez un filet de colle
sur les parties en contact, posez la pièce en appuyant puis retirez-la
et laissez sécher un quart d'heure. Quand vous replacerez la
pièce, elle sera immédiatement soudée en place.
C'est plus efficace que la cyano et moins pénible pour les doigts,
les sinus et les yeux...
J'ai commencé par les flancs, qui font toute la longueur du fuselage,
de part et d'autre sous l'assise d'aile. La longue pièce de coffrage
du ventre fait le raccord entre ces flancs. L'ajustage et la découpe
se font directement sur l'avion, là où les pièces
'tombent'. Des pièces plus petites couvrent le dessus du fuselage.
La pointe avant, plus galbée, se coffre à l'aide d'une
demi-douzaine de secteurs supportés par autant de renforts longitudinaux
en dépron. Ceux-ci sont courbes comme une banane pour respecter
la forme du fuselage. Heureusement, ils sont identiques car le fuselage
est circulaire. Une généreuse couche d'enduit superléger
permet de gommer l'effet de facettes ainsi obtenu. L'opération
est finalement plus facile à faire qu'à expliquer. Le
seul problème est que le séchage de l'enduit dure plusieurs
jours car la couche est épaisse. Tenter de poncer avant le durcissement
complet n'est pas une bonne idée...
Après avoir enduit et poncé tous les trous et toutes les
fentes, vous pouvez coller la sous-dérive en balsa de 4 mm et
poser la verrière. Il ne reste que le crochet de catapultage
à fixer devant le couple F4 au bord d'attaque de l'aile. Pour
cela, grattez le dépron jusqu'à exposer le longeron ventral
sur ±6 cm de long et 2 cm de large en avant du couple. Comblez
ce trou d'une plaquette de contre-plaqué aviation de 4 mm d'épaisseur
collée à grands renforts d'époxy. Un rectangle
de tissu en fibre de verre de 10 x 6 cm posé à l'époxy
renforce l'ensemble. Le crochet se visse à l'avant de la plaquette,
donc à ±5 cm en avant du bord d'attaque. Lors de mes premiers
vols, le crochet fixé juste au bord d'attaque de l'aile a causé
une montée beaucoup trop raide. Placez l'aile sur le fuselage
et servez-vous du contour du fuselage pour tracer les faux couples en
CTP qui forment le dos du fuselage sur l'aile. J'ai choisi de maintenir
l'aile par deux vis en nylon de 6 mm à l'arrière et deux
chevilles en bois à l'avant. Les vis mordent directement dans
les supports en balsa du fuselage. Pour cela, il suffit de forer le
bois à la mèche de 4 mm et d'imprégner le trou
de cyano fluide (attention au dépron !). Après séchage
complet, taraudez en M6 en imprégnant de cyano fluide après
chaque passage de taraud. Laissez sécher à fond entre
chaque taraudage. A condition qu'il y ait une épaisseur d'au
moins 12 mm de balsa le résultat est incroyablement solide et
léger !
Finalement, un coffrage en dépron 3 mm et
une bonne dose d'enduit terminent cette partie centrale. L'aile porte
également une petite partie de la verrière, qui se glisse
sous celle-ci lors de l'assemblage sur le terrain.
Pour trouver exactement où percer le passage des vis, il existe
une méthode fort simple : taillez deux bouts de vis en nylon
en pointe à l'aide d'un taille-crayon. Vissez-les à
leur emplacement en laissant la pointe dépasser. Pressez l'aile
en place et retirez-la. Les trous dans le dépron indiquent
le centre des perçages !
5. Finition
Pour gagner du poids, l'avion a été 'pistolé' à
l'acrylique matte Tamiya, directement sur le dépron. La teinte
blanche est tout simplement celle du matériau. Un choix judicieux
dans la forme du camouflage permet de cacher les éléments
en balsa. Ma déco est totalement fantaisiste. En réalité
les La-15 n'étaient pas peints. Cela dit, le blanc moucheté
de vert fait très 'front de l'Est' et les grandes étoiles
rouges achèvent de convaincre même les plus grincheux.
Les étoiles sont peintes à l'aérographe à
l'aide de calques. Les insignes sont imprimés sur PC et le papier
enduit de UHU Por. En effet, les adhésifs traditionnels ne collent
pas bien sur le dépron. Attention, l'acrylique est très
fragile pendant le séchage (surtout les premières 24 hr)
et s'arrache au moindre contact. Après quelques jours, plus de
soucis !
Pour simuler l'aluminium sur le nez, rien de tel que
de... l'aluminium ! Celui-ci provient de rouleaux adhésifs destinés
à l'isolation dans le bâtiment. Une fois posé, l'effet
est saisissant et ce recouvrement renforce considérablement la
structure. En quelques semaines, l'alu passe d'un aspect 'chromé-miroir'
à un gris métallisé tout à fait conforme
aux 'vrais' avions. Le poids est finalement très raisonnable,
à condition de ne pas recouvrir tout l'avion, bien sûr.
Je me suis contenté du nez, des bords d'attaque des volets ainsi
que des artifices aérodynamiques. N'oubliez pas non plus que
le métal bloque les ondes radio... N'exagérez donc pas
!
La pose de ce matériau est un secret bien gardé.
En effet, le ruban a une tendance vicieuse à coller sur lui-même
et surtout à se friper au moindre contact. En plus, il refuse
obstinément de suivre la moindre courbe non développable.
Pour le convaincre, munissez-vous d'une... cuiller à café
! Comme vous pouvez le voir sur les photos, en frottant énergiquement
avec le dos de la cuiller, l'alu se colle, s'étire et se lisse
en même temps ! Même la courbe complexe de l'entrée
d'air ne lui résiste pas. Sur le bois ou le dépron recouvert
d'une bonne couche d'enduit, pas de soucis. Par contre, sur les surfaces
de dépron plus molles le mouvement de la cuiller a tendance à
former des rides dans lesquelles l'aluminium se 'fond'.
C'est le frottement de la cuiller qui enlève au ruban son invisible
couche de protection. Le revêtement va donc lentement s'oxyder
et se ternir. Si vous préférez conserver l'aspect brillant
et poli, vous pouvez toujours essayer de le protéger à
l'aide d'un vernis.
Moteur, contrôleur et condensateur...
Les contrôleurs de brushless n'aiment pas du tout les longs
fils d'alimentation. D'ailleurs, les modes d'emploi imposent souvent
une longueur maximale d'une dizaine de centimètres sous
peine de démarrages ratés, de mauvaises reprises,
voire même de surchauffe ou de non-fonctionnement total.
Dans ce modèle comme dans beaucoup de jets, il est impossible
de placer le contrôleur à côté de l'accu.
Vous pouvez bien sûr allonger un peu les trois fils qui
vont au moteur, mais les fils d'alimentation restent quand même
longs. Trop pour mon vieux contrôleur MGM 40A qui refuse
tout service dès que la distance dépasse 5 cm...
Le salut vient de l'ajout d'un gros condensateur électrolytique
entre le positif et le négatif de la rallonge (voir photo).
C'est simple, bon marché et efficace.
Respectez bien la polarité ; le négatif
de la 'cannette' se trouve là où la gaine est marquée
d'une ligne. Et tant qu'à faire, utilisez aussi des câbles
et connecteurs de très forte section pour éviter
les pertes (au moins 2,5 mm²). Par ailleurs, si vous avez
le choix, optez pour un contrôleur de fort ampérage.
Les possibilités d'aération sont limitées
ce qui ne favorise pas le refroidissement des composants... |
Contact : laurent.schmitz@jivaro-models.org